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Nanoparticules et santé : cas des agents de contraste en imagerie médicale

LCC

 

 

 

Nanoparticules et santé

Cas des agents de contraste en imagerie médicale

Nos activités de recherche portent sur la conception, la synthèse et l’évaluation de nanoparticules hybrides en tant que plateformes d’imagerie mono ou bimodale, potentiellement vectorisables.

Notre objectif est d’améliorer le rapport bénéfice/risque et le confort des patients lorsque le recourt à un agent de contraste est nécessaire pour poser un diagnostic fiable en imagerie médicale. Cela suppose notamment la conception d’agents de contraste plus efficaces pour pouvoir diminuer les doses à injecter. Cela peut être par immobilisation d’agents de contraste moléculaires sur des nanoparticules chimiquement inertes (e.g. silice) ou par le développement de nanoparticules à propriétés remarquables adaptées à la technique d’imagerie visée (e.g. aimantation élevée pour une utilisation en IRM). Leur enrobage par une couche de silice est privilégiée pour faciliter leur fonctionnalisation de surface (biocompatibilité, vectorisation, furtivité…).

 

D’après New J. Chem., 2020, 44, 18031 – 18047, https://doi.org/10.1039/D0NJ04430J

L’association de ces deux approches conduit à des sondes bimodales qui ouvrent la voie à la réalisation d’images par deux techniques d’imagerie choisies comme étant complémentaires (IRM/CT, IRM/fluorescence, IRM T1/T2…) et ce dans un laps de temps très court (idéalement de façon synchrone) et grâce à une seule injection.

Ces projets sont menés en collaboration avec :

  • sur Toulouse : les laboratoires SPCMIB, ToNIC, CEMES et CERTOP
  • en Belgique : Université de Mons
  • en Espagne : Universitat Autònoma de Barcelona
  • aux USA : Florida State University

LCC CNRS

Laboratoire de chimie de coordination du CNRS

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